Elon Musk annonce le lancement prochain de l’assistant Grok pour les utilisateurs Premium X

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Tl;dr

  • Grok, le chatbot de xAI, sera accessible aux abonnés Premium.
  • Elon Musk a annoncé l’élargissement de la disponibilité de Grok.
  • xAI a ouvert le code source de son modèle Grok-1.
  • Musk a intenté un procès contre OpenAI, alléguant un abandon de sa mission à but non lucratif.

Le chatbot Grok : Un outil plus accessible pour une IA de pointe

Elon Musk, dirigeant de la société xAI, a annoncé que Grok, le chatbot de l’entreprise, serait accessible aux abonnés Premium de la plateforme X plus tard cette semaine. C’est une évolution notable pour cet outil, qui était jusqu’à présent réservé aux abonnés Premium+ contre un tarif de 16$ par mois ou 168$ annuels. Avec l’arrivée de Grok sur le palier Premium, qui coûte la moitié de ce tarif, le chatbot est désormais à la portée d’un plus grand nombre.

Grok: un modèle compétitif du secteur de l’intelligence artificielle

Alors que le monde se remet encore de la stupéfaction suite à l’annonce de l’ouverture du code source de son modèle Grok-1 par xAI en mi-mars, cette entreprise tente de se démarquer de ses concurrents. Dans le contexte tumultueux du monde de l’intelligence artificielle générative, cette décision apporte une preuve supplémentaire de la volonté de Musk de rendre l’IA accessible à tous.

Buffer contre OpenAI : une bataille pour l’éthique

Dans le même temps, Musk a porté des accusations sévères contre OpenAI et Sam Altman. Dans son “recours juridique,” il affirme que ces derniers ont abandonné leur mission de non-profit pour privilégier les profits. Musk, un des premiers soutiens de OpenAI, met ainsi en exergue sa déception face à ce qu’il qualifie de “trahison flagrante de l’accord fondateur”.

Néanmoins, OpenAI répond en écartant toute notion d’accord fondateur avec Musk. L’entreprise clame qu’il était au courant de son virage vers le statut d’entreprise à but lucratif, et aurait même participé à son planification, désirant une majorité de parts, la présidence du conseil d’administration et le poste de PDG. Une situation complexe qui mérite d’être suivie de près alors que la polémique fait rage.

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